La bataille du Cap de Malin Head

1. Nom du Bâtiment --> La Bataille du Cap Malin Head

2. Pays du Bâtiment --> Irlande, île aux pirates

3. Fonction du Bâtiment (Histoire RP) --> Décembre 1815 dans une taverne de Brest,
Un vieil homme  assis seul à une table se lève et frappant d'un coup sec la table avec son poing rond s'exclame :
"Silence compagnons! Silence hardis marins de Brest!
J'men vais vous compter là une histoire qui vous estourbira rien qu'à l'entendre."
L'homme aux cheveux cendré et à la pipe encore fumante avait sans aucuns doutes abusé du rhum et des gueuses. Il était vêtu d'un bas bleu marine simple et d'une chemise blanche bouffante laissant apparaitre de nombreuses cicatrices sur son torse. Tout les clients connaissait ce forban à l'habitude taiseux mais à l'expérience sûr et se réunissaient alors autour de lui une chope de bière à la main aussi blonde que la gueuse qu'ils avaient l'habitude de serré dans ce genre d'établissement. Le vieux loup de mer, étonné de l'attention qu'on lui portait pour une fois, commença par montrer une mine surprise puis la fierté prit place en lui et il commença son histoire en rallumant sa pipe avec un tabac d'une belle couleur vive.
"Nous sommes en l'an IV de la République (1795). À l'époque j'my embarquait déjà à bord d'une frégate armée par les notables de Concarneau avec le grade de timonier jvous pris, c'était La Méduse. Vous auriez vu cette frégate comme elle flottait bien sûr les mers, son gréement et sa coque la rendait si rapide que nous pouvions échapper à n'importe quel pourceau d'anglois. Ses canons de 24 (calibre du canon faisant référence au poid des boulets utilisés, ici 24 livres) lui offrait une puissance de feu aussi meurtrière que les récifs de la baie de Morlaix. Ahah je revois le capitaine, Loïc de Kermelec, se tenir là debout sur le bastingage regardant l'horizon à la recherche d'une prise ou de la terre promise. Oui messieurs, nous étions des corsaires portant fièrement les couleurs de la Révolution.

Après un long voyage nous ramenant des Antilles nous dumes accoster sur une île de pirates irlandais où nous fimes grands profit de nos prises. Il y avait non pas de l'or comme certains menteur pourraient le raconter mais plutôt des soieries, de la porcelaine de Chine et une grande quantité d'épices en tout genre. Il y avait là une explosion de couleur sous mes yeux, du jaune, du rouge, du bleu... J'ai toujours été émerveillé par ce que l'on pouvait trouver dans un port libre comme celui là. Malgré le tempérament irlandais je réussi à faire quelques bonnes affaires comme l'achat d'un magnifique poignard ayant appartenu à un chef Barbaresque. Il y avait au Nord de l'île un fort, un très grand fort ce qui paraissait étonnant pour une ville de pirates. Plutard j'appris que la ville fut prise aux anglais par des indépendantistes irlandais il y a de ça 75annés. Les rouges n'ont jamais essayé de le reprendre car il était trop bien défendu et ce notamment grâce à l'action d'un capitaine pirate d'origine galoise. Le célèbre Edward Kenway. Il avait regné sur les Caraïbes pendant plus d'une décennie et était retourné au pays de Galles pour y mener une vie de notable. On dit qu'en s'arrêtant sur l'île il en profita pour cacher un trésor digne des plus grandes monarchies d'Europe avec ici et là des dizaines de pierres précieuses et des lingots d'or et d'argent. Je crois qu'il est mort assassiné, pauvre homme. Un simple gentilhomme de fortune voulant comme nous tous échapper à la monotonie d'une vie paysanne et voulant goûter aux joies du port.

Après cette halte fort instructive nous levions l'ancre pour filler toute voile dehors vers Saint Malo afin de revoir nos familles pour la première fois en deux années. Je remontais donc sur La Méduse quand soudain le navire fut envahi de toute part par des tuniques rouges armées jusqu'aux dents. Sans réfléchir je sautais par dessus bord. Une balle transperçant les flots  m'atteignit au mollet et me fit couler dans les profondeurs abyssales de la mer celtique.

Je me réveilla uniquement le jour suivant dans la maison d'un riche armateur apperement allié des pirates. J'appris alors que les anglois avaient mené une opération de grande envergure sur la ville et que le fort était tombé par la ruse et la perfidie britannique. Tout les navires avaient étés saisis et toutes les marchandises du port elles aussi.

Après un copieux repas que je partageais avec mon riche hôte je l'interrogeait sur la situation afin de tenter quelque chose pour retrouver mes compagnons. Il me montra sa cave où il m'avait caché. Celle ci menait à une autre cave qui elle même menait à un passage souterrain à moitie obstrué par de grands blocks de granit. Ce même passage, me racontait le notable, menait à un cachot de la prison. Il permettait à l'armateur ou à ses amis de rentrer chez lui lorsqu'il était arrêté pour ivresse sur la voie publique. Changé en notable avec des habits de soie je pris les devants et je me mis en quête d'un tonnelet de poudre qui me permettrait d'ouvrir un passage et de libérer l'équipage de la Méduse. Je me dirigeais alors vers le ponton de La Croix ou les anglais avaient stockés quelques barillets de poudre noire.

J'attendais dans les broussailles et à la nuit tombé je m'infiltrais dans la fameuse zone interdite. Je récupérais l'objet de mes convoitises avec facilité et un cliquetis retentissait derrière moi. J'entendis une voix me crier "Hand up damed pirate", un anglais me tenait en joue. Je m'attendais à être exécuté sur le champ et froidement quand soudain  le soldat s'effondra à terre. C'était le Capitaine, lui aussi avait pu s'échapper au moment de son arrestation dans...un bordel. Il avait coupé la gorge du soldat avec mon beau poignard Barbaresque qu'il avait récupéré sur le navire avant de se cacher. Il me le remit sans se faire prier après avoir nettoyé le sang de la lame. Nous retournions chez notre hôte pour nous reposer un peu avant de finaliser notre explosive entreprise. Au petit matin nous fîmes réveillé par des tambourinements à la porte au levé du soleil. C'était un groupe de tuniques rouges qui fouillait les maisons en represailles du meurtre de la nuit dernière. Nous nous cachâmes dans une armoire espérant et priant Saint Anne qu'ils ne nous trouveraient pas. Un soldat aux sourcils foncé et à la mine agressive se dirigea vers notre cachette. Il tendait sa main pour ouvrir le meuble quand soudain il courra vite à la porte où son supérieur avait été frappé d'une pierre. Il s'en est fallut de peu que nous soyons decouvert. Le soir même nous descendions dans le passage secret et nous boutions le feu au tonnelet de poudre qui dégagea le passage en provoquant une forte secousse dans toute l'île. Sans tarder nous nous engagâmes dans ce tunnel aussi etroit qu'une pucelle et nous remontions bientôt vers la cellule. Il fallut cogner sur la petite trappe cacher pour que ce gros malouin de Brissac bouge son imposant fessier et nous permette enfin d'accéder à la cellule.

En quelques minutes la moitié des prisonniers avait été évacué tandis que l'autre resterait dans la prison armé jusqu'au dents pour déclencher une attaque du fort par l'intérieur. Nous retournions en ville par le souterrain accompagné du reste de l'équipage et d'un mystérieux prisonnier au masque de fer. Il était grand et couvert de blessures encore saignantes. D'une carrure imposante et dans une tenue de cuirassé le mystérieux prisonnier allait se coucher à l'écart de nous.

Pendant que le capitaine de Kermelec préparait le plan de l'attaque avec les autres officiers je me chargerais de libérer notre nouveau compagnon de fortune de ce masque de métal. Après une bonne heure à martelé le fer je réussi enfin à l'ouvrir et je découvris avec stupeur un visage féminin. C'était une femme, elle avait les cheveux cuivrés et les yeux aussi verts que des émeraudes. Elle me poussa brusquement et tenta de s'échapper par la fenêtre mais fut rattrapé par le capitaine qui s'exclama: "tout doux ma jolie! Ou cours tu comme ça alors que les anglais sont sûrement déjà à ta recherche dans toute la ville! Qui es tu et pourquoi était tu prisonnière ?", Lui demanda-t-il. Sans hésiter elle le gifla sans conséquence et fonda en larme d'être de nouveau prisonnière et en plus son secret découvert. Elle répondis par la suite au capitaine qu'elle était en réalité la fille d'un riche baron écossais, amis des pirates, qui avait financer leur flotille. Celle ci avait été faite prisonnière en son château peu de temps avant le départ des tuniques rouges pour l'Irlande. Elle avait pu s'échapper et réussi à s'embarquer dans un navire marchand afin de prévenir les pirates de la menace qui les guettait. Mais malheureusement pour elle,  malgré son déguisement elle fut reconnut et faite prisonnière en mer. Les marins du navires marchands étaient en fait des soldats britanniques camouflés.

Ne voulant retarder l'opération, le duc de Marlborough, décida de l'emmener avec eux et de la faire prisonnière au sein même du château qui avait un jour abrité son défunt père. Il ordonna qu'on lui fabrique un masque de fer pour éviter que ses partisans ne la reconnaissent et tentent une quelconque action contre la troupe. Elle savait se battre comme un homme car son père qui n'avait eu que des filles voulait un jour qu'elle defende la cause à son tour. Elle alla se changer pour le souper qu'elle prit avec les offices, notre hôte et bien sûr le capitaine. Mais la tranquillité du repas fu breve car un homme essoufflé fit irruption dans la maison et apporta un message à l'armateur qui s'ennuyait tranquillement les mains avec sa serviette de soie avant de saisir le pli. Buvant une gorgée d'un vin noblement pourpre et lisant le pli il bondit de sa chaise. La lettre qu'on venait de lui apporter était d'un informateur qui lui confirmait que le navire français Le Téméraire, de l'explorateur Bougainville, passerait au sud de l'île dans la matinée. Le capitaine eu alors une idée, il m'envoya voler une barque et des torches et m'ordonna de me positionner à quelques encablures de la côte et de faire signe au fier vaisseau qui battait pavillon allié et qui était lourdement armée. Celui-ci pouvait être d'une grande utilité pour faire face aux navires anglais au mouillage occupé à voler les richesse de la ville.

J'avais pris connaissance de l'intégralité du plan du capitaine pour que je le transmette à Bougainville. Pendant que je devait amener le célèbre explorateur au Nord de l'île en la contournant par l'ouest et ainsi surprendre la flottille britannique, le premier lieutenant devait reprendre La Méduse et la conduire à nos côtés pour la bataille navale qui serait inévitable. Le capitaine quant à lui devait attaquer le fort avec nos meilleurs hommes resté dans  la prison et la dame de cuivre qui maniait une rapière aussi bien que lui.

Comme prévu au matin je fut récupéré par l'immense vaisseau qu'est Le Téméraire. Je pu alors exposer le plan rapidement et nous nous mimes en route pour croiser le fer avec les soldats de la perfide Albion. Nous fûmes très vite rejoins par La Méduse qui se préparait au combat et se plaçait en ordre de bataille derrière nous. Au même moment les combats dans le fort avaient commencé et les cloches d'alertes résonnaient déjà dans toute la ville. Nos hommes prirent rapidement le dessus grâce à leur 10 années d'expériences au combat navale. Mais le duc et sa garde personnel résistaient encore et tenaient fermement le fort supérieur. C'est alors que je les vis, elle et lui chargé sabre et pistolet à la main, broyant la ligne anglaise et se ruant sur le duc de Marlborough. Du plus haut mat, dans la hune la plus haute je pouvais voir, impuissant, le duel à mort. Ce n'est que plus tard que je su que le Lord anglais était l'une des plus fines lame de Grande Bretagne. C'est pour cela que malgré son infériorité numérique face au duo de bretteur assidu il réussi à en désarmer un et à blessé l'autre.

Sans hésiter je sautais à l'eau avant, risquant de me tuer, et escaladais la muraille du fort pour aider mes camarades dans la bataille. Arrivé devant le bureau du gouverneur je le vis, lui, le capitaine de Kermelec, s'effondrer et elle, la dame à la chevelure de cuivre,  ayant comme unique défense un tabouret. Alors que l'anglois allait les achever tout les deux dans un élan de désespoir je lançais mon poignard barbaresque qui fut intercepté par le capitaine qui transperça la cuirasse de l'aigle anglais qui s'effondra à côté de lui.

Les deux navires français avaient rapidement pris l'avantage sur les cinq autres anglais qui étaient moins bien armé et alourdi  par les marchandises qu'ils avaient pu voler. Ce n'est pas moins de 200 marins Britanniques qui sont morts ou fait prisonniers contre deux petites dizaines de victimes de notre côté et celui de nos alliés pirates. La ville était sauvé mais nous ne fêtions la victoire que sommairement. La dame de cuivre dont je ne connaissais pas encore ni le nom  ni le prénom avait été là sur son corps sans vie. Elle pleurait la mort d'un homme dont elle était tombé amoureuse au premier échange. Nous nous pleurions notre cher capitaine. Celui qui nous a porté, celui qui nous a sauvé de nombreuses fois c'est dernières années. Il était mort en se vidant de son sang en quelques instants sans que personne ne puisse le secourir. Jetant son tricorne et laissant s'échapper sa chevelure de cuivre au vent, celle qui se faisait appeler en réalité Marguerite de Balmoral se jeta du haut de la plus haute des tours et se brisa sur les rochers. Quel triste journée pour Cupidon qui perdi deux êtres fort de leur amour. Mais quelle grande victoire pour les hommes libres de la mer, pour la piraterie et ses alliés de la Révolution. Quelle belle victoire pour nous les serviteurs du rite assassin contre ceux du rite templier."

La grande horloge de Brest annonçait minuit quand le vieux loup de mer finissait de prononcer ces quelques mots. La petite assemblée trinquait une dernière fois en l'honneur du modeste conteur puis l'échoppe se vidait petit à petit. Il n'y avait bientôt plus personne dans la salle à part un jeune moussaillon  qui s'approchait du marin abîmé par l'âge. Celui-ci lui demanda timidement : "et le trésor de Kenway il existe toujours?" Ce à quoi le corsaire répondit fièrement : "L'aubépine appareil demain pour l'Irlande gamin, fais le bon choix et tente ta chance". 
Bennozh Doue deoc’h martolod Breizh, soyez bénis marins de Bretagne

Détails de l'histoire:

La Méduse: C'est une frégate française de 14 canons de calibre 24. Elle dispose de trois mats à voiles carré, deux focs, d'une voile d'artimon et de quatres voiles d'étai. Cette voilure lui offre une vitesse record de 12 noeuds (22km/h). Navire de la guerre de course, La Méduse captura de nombreux navires marchands anglais revenant des Antilles et des Indes entre 1790 et 1813 où elle fut coulé lors d'une violente tempête. Le navire ne connu que deux capitaines différents dont Loïc de Kermelec.
Le Téméraire: Le navire est un deuxième rang de 54 canons de calibres différents battant pavillon français. Ce fut notamment le navire de

l'explorateur Bougainville. Le navire participa à de nombreuses batailles et coula pas moins de 12 navires anglais ou espagnols à lui tout seul, dont deux sont classé de premier rang. Il fut finalement cédé aux britanniques selon les conditions du traité de Vienne à la fin des guerres napoléoniennes.

HMS Fearless est une frégate de guerre  assemblée dans le chantier naval de Londres. Elle connaitra son baptême du feu lors de la bataille des Saintes mais n'y brillera pas forcément. Son principal fait d'arme fut de combattre les corsaires français de la Réunion.

The Worry est une brigantine anglaise construite pour combattre les pirates dans les Caraïbes. Légèrement armée le navire peut compter sur sa grande vitesse pour échapper à de trop gros prédateurs. Malgré sa petite taille le navire réussit à s'illustrer comme lorsqu'il fallut forcer le blocus navale de La Barbade par le Royaume de France.

HMS Glasgow est un brick anglais financé par la ville de Glasgow en Ecosse. Ce navire avait été volé par les révolutionnaire écossais mais avait été araisonné puis reconvertis pour la Royale Navy. Ce navire est l'un des plus éfficace de sa classe, il a coulé une quinzaine de navires de rang différents allant de cotre à un 74 canons espagnol.

HMS Exeter est une frégate marchande construite en 1791 pour commercer avec les colonies du Nord de l'Amérique. Malgré un démattage lors d'une violente tempête le navire réussi à être remorqué vers l'embouchure du Saint Laurent où il est réparé. Deux semaines après cet évenement il doit faire face à une voie d'eau provoqué par un morceau de glace certainement. 

HMS Yseult est un brick de la Royal Navy qui sécurisait les routes commerciales dans la Baltique. Il fut attaqué par une flotille de vaisseaux corsaires français mais réussi à les seumer dans un fjord norvégien de nuit, manoeuvre très risqué. En 1793 il participa au soutient apporté par l'Angleterre aux royalistes de Bretagne et de Vendée.

HMS Mourner est un brick marchand qui faisait jusqu'à l'opération de 1795 du commerce avec les Indes orientales où il ramenait de nombreuses porcelaines et tissus précieux. Le navire fût capturé par des pirates musulmans puis repris après une mutinerie. Malfré ce coup de force l'équipage ne pu ramener seul son navire en Angleterre où il dû être soumit à des réparations majeures.

Le fort : Les premières traces de constructions retrouvés datent du Xe siècle de notre ère. Il s'agissait au départ d'une motte castrale qui fut améliorer au fils des guerres et des époques. Au XIII e siècle notamment le comte Richard Strongbow fait renforcer l'édifice avec le donjon rebâti en granit et commence les travaux de la partie inférieure du fort. Mais c'est au XVIIe siècle que l'ouvrage connait ses plus grandes réformes sous l'influence des français dont le commissaire général des fortifications, le marquis de Vauban. Les ingénieurs ajoutent la batterie circulaire perché à une trentaine de mètres du niveau de la mer lui permettant de viser le gréement des navires pour les immobiliser et ensuite lancer des abordages. Il est également notable que de grandes fentes sont percés dans les différentes tours pour y installer des pièces d'artillerie. Un bastion viens également renforcer la façade Ouest du donjon. À l'époque de l'histoire le fort est l'un des mieux armé d'Europe et surtout des plus confortable. Sa cave et ses nombreux dortoirs permettent à ses occupants d'être en bonnes conditions pour se battre. Le fort est doté d'une cinquantaine de canons à l'époque des faits.

Loïc de Kermelec est un capitaine corsaire qui a d'abord servit chez les pirates barbaresque, ce qui lui valut d'être emprisonné dans les prisons royales de nombreuses fois. Au moment de la révolution il est libéré et reprend la mer pour la guerre de course. Celui pilla de nombreux navires comme le San Felipe qui revenait du Nouveau Monde chargé d'argent.

Marguerite de Balmoral est fille et petite fille de noble écossais qui dirigèrent plusieurs révoltent contre les anglais. Elle perdit son père dans une émeute à Glasgow alors qu'elle n'avait que 5ans. Comme c'est aïeux, la jeune femme fût victime de Lord Malborought et de ses nombreux crimes.

Lord Marlborough est un personnage fictif ici mais à toutefois existé et est l'un des plus grand chef de guerre britannique de tout les temps. Il a notamment combattu la France au début du 18e siècle et eu l'une des plus grandes renommée de l'époque. Dans le cas de notre histoire celui ci est né en 1767 à Kent et est connu pour sa grande cruauté envers les révoltés écossais.

L'explorateur Bougainville est un noble français ayant été le premier à faire un tour du monde officiel au nom de la couronne de France. Il ramena de nombreuses espèces végétales jusqu'alors inconnu et donna son nom à la Bougainvillea, une fleur d'Amérique n'aimant pas le froid. Malgré ses titres de noblesse il a survécu à la Terreur grâce à sa grande notoriété au près du peuple. Il finira ses jours en 1811 à Paris.

Le vieux loup de mer  est un marin assidue qui s'engagea très jeune comme mousse sur un brick marchand et fit son premier voyage vers l'Inde pendant lequel son navire fut capturé par des pirates. Il s'engagea alors dans l'équipage de ces derniers et fut longtemps recherché avant d'être gracié par le ministre de la guerre en personne qui lui proposa de s'engager dans La Royale avec ses nombreuses connaissances en navigation.

Le jeune moussaillon est un personnage fictif.  Il est intéressant ici car il se lancera plutard à la recherche du trésor d'Edward Kenway. Ces recherches lui prendront la moitié de sa vie soit 33 années. Il est plus connu aujourd'hui sous le nom d'Alexandre Le Cornus.

Vocabulaire : 
-armateur : un armateur est un acteur économique qui fait construire des navires pour les envoyer faire du commerces aux quatres coins du monde. C'est lui qui tire les meilleurs bénéfices des voyages.
-barbaresque : peuple vivant au Maghreb actuel qui pratiquait régulièrement la piraterie et l'esclavagisme sur les chrétiens de Méditerranée.
-bastingage : sorte de muret ou barrière délimitant le pont supérieur d'un navire et empêchant les marins ou les marchandises de passer par dessus bord.

REMERCIEMENTS:  track, mumei, zaneki, icroue, remito, firregod, lexouille le méchant, noni, nesoxis, hugman, dartanael, littleduck, gater01, matheo, mitzu, pika, mouette et bien évidemment crazy le geux, en gros tout ceux qui on participe de près ou de loin. ET MOI CAR JE M'AIME
(VLC dans ton F... malgré la trahison on est toujours là t'es vraiment nul et un sacré petit cochon)

4. Coordonnées du Bâtiment --> -1561.80.-2648

5. Screeshots / Vidéos du Bâtiment --> https://youtu.be/SupK-pJFE1s