-|| L'Ode Finale ||-

L'Ode Finale 

La Grande Iamalie

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Il était une fois, quatre frères. Ces derniers, fils d’un roi oublié, se partageaient le royaume de leur père.

 Néanmoins, deux d’entre eux sortaient du lot : l’aîné et le cadet.

L’ainée était doté d’une réflexion hors du commun, un esprit vif et une sagesse transcendantale avec un grand charisme et aimé par les foules.

 Le cadet, quant à lui, était son parfait opposé, belliqueux, enragé mais doté d’un véritable esprit de guerrier. A lui seul, les corps d’armes tombaient comme des feuilles mortes.

Celui-ci le savait, il n’était que rage et la rage n’était que lui, son épée et lui ne faisant qu’un. Mais leur complicité était différente que ce qu’on aurait pu imaginer, car eux même se définissaient comme lumière et obscurité, inexistante sans la présence de chacun. Puis un jour, l’annonce du nouveau roi fut annoncée. L’aîné fut désigné par le père comme successeur sur son lit de mort. Le cadet, ne comprenant pas cette décision, l’accepta quand même. Selon lui, le pays avait besoin d’un leader fort et inspirant la crainte sur le reste du monde.

 Néanmoins, l’aîné, par amour pour son frère et par peur de le perdre, fit une annonce :

« Des aujourd’hui et jusqu’au jour de ma mort, moi et mon frère ne ferons qu’un et ce pays sera le nôtre. » Voici la première phrase du nouveau roi.

Ces derniers décidèrent d’ériger un bâtiment pour marquer la fin d’une époque révolue. Ce bâtiment serait l’épée qui brisera les chaînes du passé, révélant un avenir plus que certain, le rêve de deux frères ne faisant qu’un.

Mais les ennemies étaient nombreux, la route était encore longue et leur destiné encore incertaine.

C’est alors qu’ils prononcèrent un discours qui restera gravé à jamais dans l’histoire du Iamalie :

« Non, les hommes ne naissent pas égaux. Les faibles cherchent à vous tromper. Ils prétendent qu’ils devraient hériter de ces terres. Ils prétendent que le devoir des forts est de défendre les faibles. Voilà le noble mensonge que nous proclame ce monde. Voilà le cancer qui ronge l’humanité.

Nous sommes les Puissants. Nous sommes le couronnement d’une époque terminée. Nous sommes nés pour dominer et diriger les autres esprits vagabonds. C’est notre héritage, et notre destiné.

Mais ce pouvoir à un prix. Il doit être mérité, conquis. La puissance, la suprématie, les empires se gagnent par le sang. Soyez forgés dans les entrailles de ce monde cruel. Trempé dans la haine. Affûté par l’amour. Car, mes amis et mes ennemis, c’est aujourd’hui que je signe le début de votre fin et vous convis aux réjouissances de cette fête. Ô que la guerre soit violente, ô que la guerre soit horrible, car de votre sang, naîtra l’édifice de notre palais. »

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** 1801 83 -3264 **

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Je remercie les membres de l'Ukraine: Darksy, Trolenfer, Le roi farmeur, Hardoun, puis à mon cher Arnohh des Îles Canaries et enfin notre modérateur bien aimé, Pendragon, nous venant tout droit de Madagascar pour avoir été de parfaits figurants pour ces magnifiques photos pleines de rires et de joies.