Évènement | Fête des Mères | Concours d'écriture

Tu étais là le jour de ma naissance, tu étais là pour me nourrir, tu étais là mon premier jour d'école, tu étais là quand j'ai eu mon diplôme, tu étais là lors de mon marriage, tu as toujours été là pour moi et j'aimerais te le faire savoir par ce poème, Maman je t'aime et j'essaierais d'être là pour toi aussi.

Yoniq124

Maman tu as de la couleur pas comme le black. Mon amour est aussi fort que je n'ai pas de blâme. Tu es vraiment belle avec ta robe. Si belle que l'on dirait une rose. Papa t'a choisi car t'es la plus gentille. LeFilou2_0

Ce jour où je suis né, ma mère était là à l'hôpital d'Izéria, je suis accueilli dans ce merveilleux serveur par @roiyannI qu'est le Black. Aujourd'hui je cherche ma mère, je remue ciel, terre, espace et mer pour la retrouver. Je la retrouve enfin dans la Warzone Bateau en train de la cap, je l'invite à rejoindre mon magnifique pays, elle accepta. Je prépare une fête pour nos retrouvailles et pour la Fête des Mères. Je compte la garder avec moi pour toujours, guerre, blessure mortelle, rien ne m'empêchera d'être avec elle. Je compte bien lui envoyer ce texte pour lui dire... JE T'AIME MAMAN ❤️

Citation d'un message de Yoniq124

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Tu étais là le jour de ma naissance, tu étais là pour me nourrir, tu étais là mon premier jour d'école, tu étais là quand j'ai eu mon diplôme, tu étais là lors de mon marriage, tu as toujours été là pour moi et j'aimerais te le faire savoir par ce poème, Maman je t'aime et j'essaierais d'être là pour toi aussi.

Yoniq124

Dans un pays paisible entre un désert mistique et une montagne imposante , vivait un jeune joueur nommé lopingu . Cette année, pour la fête des mères, il voulait offrir à sa maman le plus beau cadeau possible. les possibilités étaient infinies. Mais une idée lui vint après avoir parlé à un ancien joueur , une plante rare qui ne pousse qu'au cœur d’edora, une planète lointaine et très dangereuse , et qui ne fleurit qu’un jour par ans. 

Équipé de son full buildeur , d’un sac à dos et de son fidèle traîneau de Noël , lopingu se mit en route. Affronta reaper, creeper et de nombreux hôtel jusqu’à même battre le voriak pour aller à cette fameuse dimension où cette magnifique fleur y poussait. Et après des heures et des semaines de recherche dans cette dimension il trouvit enfin cette magnifique fleur et pu enfin rentrer chez lui..

De retour au pays, il plaça la Fleur d edora dans un pot magique qui la faisait briller de mille couleurs. Sa maman, les yeux pleins de larmes, l’embrassa fort. « C’est le plus beau cadeau du monde, lopingu . Pas parce qu’il est rare, mais parce qu’il vient de ton cœur. » 

- Concours d'écriture pour la fête des Mères -
-> Histoire rédigée par NinjaPeche

-> Vous allez lire : Le voyage de NinjaPeche

Il faisait encore nuit quand NinjaPeche referma la porte de son appartement viennois*. Le sac sur l’épaule, il gardait ce sourire discret qu’on réserve aux grandes décisions. Il partait pour les Etats-Unis. Pas pour les vacances, non : pour retrouver sa mère. Ca faisait presque dix ans qu’il l’avait pas vue. Cette année, il voulait marquer le coup : pas de message, pas de colis. Il voulait être là, en chair et en os, pour lui souhaiter une bonne fête des mères.

Le voyage fut long, mais l’excitation le maintenait debout, comme un fil tendu. À chaque escale, il imaginait la scène : elle, sur le seuil, les yeux ronds, la main sur le cœur. Et lui avec son bouquet de pivoines — les mêmes qu’elle aimait tant. Il repensait à son rire, à ses gestes, à cette voix qui le berçait quand il arrivait pas à dormir. Dewaci**. Un prénom qui gardait toujours une part de mystère. Un peu comme un secret quoi.

Il arriva à Los Angeles sous un ciel bleu lourd. Dans le taxi, il tenait l’adresse serrée entre les doigts ; la rue était calme, bordée d’arbres et de maisons qui se ressemblaient toutes un peu. Il descendit, inspira, ajusta le bouquet contre lui, puis frappa à la porte.

Silence... La poignée tourna lentement... Un homme apparut : la cinquantaine, cheveux poivre et sel, l’air figé. NinjaPeche resta un instant interdit.

— Je cherche … Dewaci. Ma mère, dit-il, pas trop sûr de lui.

L’homme ne répondit pas tout de suite. Il le fixait comme s’il essayait de rassembler des souvenirs éparpillés.

— C’est moi, finit-il par dire, la voix basse, un peu cassée.

— Non … C’est pas possible. Dewaci est ma mère.

L’homme soupira, ouvrit la porte un peu plus grand, et l’invita à entrer.

Ils s’assirent à la table du salon, l’album photo ouvert devant eux, les pages légèrement gondolées par le temps. C’est là que la vérité tomba, doucement, sans faire de bruit.

Dewaci** n’avait jamais été une femme, pas au sens biologique. Il avait élevé NinjaPeche seul, en se présentant comme sa mère parce que c’était plus simple, plus sûr : son entourage n’aurait pas compris. Il avait tout donné, sans jamais flancher. Ce n’était pas un mensonge facile ; c’était un choix, par amour. Même si ça lui coutait cher.

NinjaPeche resta silencieux. Le bouquet de pivoines était posé sur la table, instact. Il se leva, s’approcha de Dewaci, et le serra dans ses bras.

— Joyeuse fête des mères, papa.

* viennois : originaire de Vienne, Autriche.
** Dewaci : vit aux États-Unis, à Los Angeles.

Cette histoire est une version romancée — mais très personnelle — de mon départ d’Autriche pour les États-Unis : un passage, une réconciliation, et un hommage à l’amour sous toutes ses formes. Vous y retrouverez Dewaci qui est mon chef de pays, et NinjaPeche, moi-même, qui est donc parti de mon appartement viennois (Vienne, en Autriche), pour rejoindre la côte Ouest des Etats-Unis, Los Angeles. Et comme beaucoup le savent, Dewaci est bel et bien un homme :). 

Merci de votre lecture !